Me référant à l’AFC (Association Française des Cueilleurs), je ne prélève jamais plus de 1/3 de chaque station de cueillette. Celle-ci doit être éloignée du passage des animaux et des humains, et bien-sûr des zones polluées. Dès lors que je me sers dans la nature et que j’en tire un avantage, il me semble juste qu’il y ait un échange.
C’est pourquoi je travaille en partenariat avec les Espaces Naturels du département afin d’assurer en retour un rôle de vigie et de sensibiliser les usagers aux bonnes pratiques de la cueillette. J’ai l’accord des communes et des propriétaires des parcelles où je cueille ainsi que l’autorisation de la DDTM (Direction Départementale des Territoires et de la Mer) pour la cueillette de certaines espèces plus sensibles comme la criste marine.
La cueillette
C’est par là que tout a commencé, en cherchant à nommer puis à goûter les plantes sauvages qui m’entourent, dans les sous-bois, les prairies ou sur l’estran. Leurs histoires sont passionnantes, leur goût et leur utilisation tout autant.